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2 mai 2012

Corsica belle île

En souvenir d'une saison 1993 à St Florent avec de bien belles images, de bien belles paroles, de bien belles odeurs, de bien beaux souvenirs ...

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2 mai 2012

ce charmeur, cet artiste

chanteur, acteur, bel homme

« La sieste, c'est comme une anesthésie. Tu te réveilles, tu ne sais plus où tu es... C'est un métier, la sieste.  »

de Jacques Dutronc

2 mai 2012

BIOGRAPHIE KEITH RICHARD sorti en livre de poche

Lisez les premières pages de la biographie de Keith Richards

Keith Richards en février 2008.

REUTERS/Johannes Eisele

Dans les premières pages de Life (Robert Laffont), en librairie ce jeudi 28 octobre, le guitariste des Rolling Stones revient sur ses déboires avec la police de l'Arkansas en 1975. Extrait.

Chapitre Un 

Où il est question de mon arrestation par la police dans l'Arkansas pendant notre tournée américaine de 1975, et de l'embrouille qui allait s'ensuivre. 

Qu'est-ce qui nous a pris de faire une pause-déjeuner au 4-Dice, une gargotte de... Fordyce, dans l'Arkansas, le jour de la fête nationale américaine ? Ou n'importe quel jour, d'ailleurs. Comme si je ne connaissais pas les dangers du Sud bigot et réac, après dix ans passés à le traverser en voiture. Fordyce ? Un trou perdu. Les Rolling Stones ? Le gibier au menu de toutes les polices des États-Unis. En cet été 1975, le moindre flic de là-bas rêvait de nous coffrer pour débarrasser le pays de ces petits pédés anglais, tout en assurant son avenir professionnel par ce geste patriotique. L'époque était violente, chargée de conflits. Depuis notre tournée STP (pour « Stones Touring Party ») en 1972, la chasse aux Stones était ouverte. Dans notre sillage, le Département d'État avait signalé une flambée d'émeutes (vrai), de désobéissance civile (vrai) et d'actes sexuels illicites (ne me demandez pas ce que ça veut dire). Et nous, pauvres baladins, étions censés en être les responsables. Nous incitions les jeunes à la révolte, nous corrompions l'Amérique et le gouvernement avait juré que nous ne remettrions jamais les pieds ici. Nixon en avait fait une question politique de premier plan. Il avait déjà déployé son talent ès coups tordus contre John Lennon, car il pensait que celui-ci pouvait menacer sa réélection. Quant à nous - notre avocat en avait été très officiellement informé -, nous étions tout simplement le groupe de rock'n'roll le plus dangereux de la planète.  

Les jours précédents, notre génial avocat, Bill Carter, avait désamorcé de main de maître les provocations montées de toutes pièces par les polices de Memphis et de San Antonio. Et voilà que Fordyce, un patelin de quatre mille deux cent trente-sept habitants dont le lycée avait pour emblème une sorte d'insecte rouge bizarre, semblait pouvoir remporter le pompon. Carter nous avait conseillé de ne pas traverser l'Arkansas en voiture, et surtout de ne jamais nous éloigner de la route principale. Il nous avait expliqué que l'Arkansas avait failli passer une loi interdisant le rock (j'aurais aimé voir ça : « Est bannie par le présent décret toute musique assourdissante et répétitive comportant quatre temps par mesure... »). Mais ça ne nous avait pas empêchés de sillonner l'arrière-pays dans une Impala jaune toute neuve. Il n'y avait sans doute pas pire endroit pour faire du tourisme au volant d'une voiture bourrée de dope : une contrée de ploucs conservateurs qui détestaient tout ce qui ne leur ressemblait pas, à commencer par un groupe d'étrangers aux cheveux longs.  

Avec moi, dans la voiture, il y avait Ronnie Wood, Freddie Sessler - un type incroyable, mon ami et presque un père pour moi, qui apparaîtra souvent dans cette histoire - et Jim Callaghan, notre responsable de la sécurité depuis de longues années. Nous avions décidé de parcourir en voiture les six cents kilomètres qui séparent Memphis de Dallas, où nous devions nous produire le lendemain, au Cotton Bowl. Jim Dickinson, le musicien du sud des États-Unis qui joue du piano sur « Wild Horses », nous avait dit que les paysages du « Texarkana » valaient le détour. Et on en avait marre de l'avion. Le vol de Washington à Memphis avait été un vrai cauchemar. L'appareil avait fait un plongeon de plusieurs milliers de mètres, les gens s'étaient mis à hurler et à pleurer et Annie Leibovitz, la célèbre photographe, était allée donner de la tête contre le plafond de la cabine. Lorsque nous avions enfin atterri, les passagers avaient embrassé le tarmac. Pendant que nous étions ballottés, on m'avait vu me diriger vers l'arrière de l'appareil pour consommer certaines substances avec encore plus d'enthousiasme que d'habitude, car je ne voulais pas gâcher la marchandise. Un mauvais trip, à bord du vieux coucou de Bobby Sherman, le Starship.  

On a donc pris la route et je me suis conduit comme un idiot. On s'est arrêtés devant le 4-Dice, une baraque au bord de la route, on s'est installés et après avoir commandé, Ronnie et moi, on s'est enfermés dans les toilettes, histoire de se mettre en jambes, si vous voyez ce que je veux dire. On planait totalement. On n'aimait ni la clientèle ni la nourriture, alors on est restés une bonne quarantaine de minutes dans les toilettes, à se marrer et à faire les cons. Dans le coin, ça ne se faisait pas. Ça a énervé les employés, ils ont appelé les flics. Quand on est sortis, une voiture noire sans plaques était garée sur le bas-côté. Dès qu'on a démarré, une sirène s'est mise à hurler et en moins de deux chacun de nous s'est retrouvé avec le canon d'un fusil à pompe sous le nez.  

On était chargés comme des mules. J'avais une casquette en jean avec plein de poches bourrées de came. Les portières de la voiture étaient farcies de sacs de coke, d'herbe, de peyotl et de mescaline. Et maintenant, mon Dieu, comment allait-on se sortir de ce merdier ? Ce n'était vraiment pas le moment de se faire serrer. C'était déjà miraculeux d'être en tournée aux States. Nos visas ne nous avaient été délivrés qu'avec une ribambelle de conditions, connues de tous les flics des États-Unis, fruit d'une interminable et pénible négociation de Bill Carter avec le Département d'État et le service d'Immigration, qui avait duré près de deux ans. Et la première des conditions était bien évidemment de ne pas se faire arrêter pour détention de drogue, ce dont Carter s'était porté personnellement garant.  

À l'époque, j'avais arrêté la came dure, je m'étais mis clean pour la tournée. Et j'aurais pu laisser tout le matos dans l'avion. À ce jour, je ne comprends pas pourquoi j'ai pris le risque de trimbaler toute cette merde avec moi. On m'avait refilé tout ça à Memphis et j'avais du mal à m'en défaire, mais j'aurais quand même pu le planquer dans l'avion et prendre la voiture sans rien dans les poches. Pourquoi ai-je décidé de charger la voiture comme un dealer débutant ? Peut-être me suis-je réveillé trop tard pour l'avion. Je me souviens d'avoir passé un bon moment à démonter les panneaux des portières pour y fourguer la came. Et le peyotl n'est même pas mon truc...  

Dans les poches de ma casquette il y a donc du hasch, des cachets de Tuinal et un peu de coke. Je salue les flics en faisant un grand geste qui me permet de balancer des pilules et du shit dans les fourrés. « Bonjour, monsieur l'agent (grand geste), aurais-je commis quelque infraction ? Je vous prie de m'excuser, je suis d'Angleterre. Est-ce que je conduisais du mauvais côté de la route ? » Du coup, tu les prends à contrepied et en même temps tu te débarrasses de la dope que tu as sur toi. Mais il en reste encore plein. Et puis les flics ont aperçu un coutelas sur le siège arrière. Par la suite, les salopards s'en serviront pour nous accuser d'avoir « dissimulé des armes ». Ils nous ont demandé de les suivre jusqu'à un parking situé quelque part sous le bâtiment de la municipalité. Chemin faisant, ils ont sûrement observé comment on continuait de balancer notre matos par-dessus bord.  

2 mai 2012

the Rolling Stones

va falloir vous y habituer, il va y avoir quelques groupes comm eça, qui vont apparaître souvent !

2 mai 2012

le roi du blues : Winter

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2 mai 2012

quelques pas de tango argentin

2 mai 2012

Muse - In Your World

Muse a vendu plus de 15 millions d'albums à travers le monde à ce jour, quand même... un tiro mêlant le rock progressif, le Heavy metal et la musique classique.

http://muse.mu/

2 mai 2012

the DOORS LIVE THE END

2 mai 2012

FESTIVAL TANGO ILLUMINATIONS ARGENTINES

Nice, France
17 mai, à 10:0021 mai, à 01:30
 
L'ASSOCIATION S.I.L
SOUTENUE PAR L'AMBASSADE D'ARGENTINE ET LA VILLE DE NICE
PRÉSENTE

Site web : www.tangofestival-sil.com (pas de TVA)
Paiement en ligne sécurisé PayPal
Protection des données fichier CNIL

PROGRAMMES : 43 STAGES ET 11 MILONGAS Dès 5 €

UNE SALLE DE BAL DE 700 M²

FESTIVAL INTERNATIONAL DE TANGO DES ILLUMINATIONS ARGENTINES

DU 17 AU 20 MAI 2012 NICE - FRANCE

4 JOURS DE STAGES / 4 DAYS OF TRAINING WORKSHOPS
4 JOURS DE SPECTACLES / 4 DAYS OF SHOWS
4 JOURS DE MUSIQUES TANGO / 4 DAYS OF MUSIC TANGO
4 JOURS DE DANSE NON STOP / 4 DAYS OF NON STOP DANCING

UNE PROGRAMMATION DE CHOIX / A PROGRAM OF CHOICE
46 stages ET 11 milongas

DU TANGO DE STYLES DIFFÉRENTS / THE TANGO OF DIFFERENT STYLES

DES STAGES EN FRANÇAIS, EN ANGLAIS, EN ITALIEN, EN ALLEMAND, EN ESPAGNOL EN PORTUGAIS, EN GREC
INTERNSHIPS IN FRENCH, ENGLISH, ITALIAN, GERMAN, SPANISH, PORTUGUESE, GREC.

NOUS SOMMES HONORÉS DE LA PRÉSENCE DES ARTISTES SUIVANTS :

** LES MAESTROS **

* ROSA RIVA Y FRANCESCO MENICHINI (ITALIE)
CHAMPION DU MONDE DE TANGO SALON 2011 (World Dance Council)

* ISABEL COSTA Y NELSON PINTO (PORTUGAL)
VIS CHAMPION D'EUROPE DE TANGO ESCENARIO 2011

* MELODY CELATTI Y GONZALO CUELLO (ARGENTINE)
MELODY CHAMPIONNE DEL MUNDIAL DE TANGO ESCENARIO 2008 (with new partner)
GONZALO VIS CHAMPION DU MONDE AU JAPON 2011

* MARTIN MALDONADO Y MAURIZIO GHELLA (ARGENTINE)
LE COUPLE EXTRAORDINAIRE DE RENOMMÉE INTERNATIONALE

* ABERTO COLOMBO Y MARIELA SAMETBAND (ITALIE)
LE COUPLE EXCEPTIONNEL DE RENOMMÉE INTERNATIONALE

** LES MAESTROS FOLKLORE ET TANGO ESCENARIO**

* JOSE CASTRO Y BERENICE PRETAT (ARGENTINE/FRANCE)

** LES MAESTROS NEW GENERATION **

ARTISTES INVITES TANGO NUEVO
* YVELINA SARANTOPOULOU Y THEODORE GEORGEDAKIS (GRECE)

* KARINE SOUCHEIRE Y JEFF DUBOURG (FRANCE)

** ARTISTES INVITES**
* FABRICE D'AGOSTINO ET ELENA (NICE - RUSSIE)
De la Compagnie MEDITANGO

* Christina ORMANI & Cie TIGERACT AND CO (Nice)

**** Parrain de l'association S.I.L****

* JOSE CASTRO DANSEUR/ CHORÉGRAPHE / PRODUCTEUR


LES ORCHESTRES / THE ORCHESTRA

* TANGUISIMO (RÉPERTOIRE DANSANT / DANCING MUSIC)(PARIS)

* QUINTETO LO QUE VENDRA (RÉPERTOIRE DANSANT/DANCING MUSIC)
(ITALIE)

LES DJ : JACQUES DIANA (FRANCE)
PIERRE GABRIELLI (FRANCE)
CELINE DEVEZE (FRANCE)
ANTOINETTE COLVET (FRANCE)
ROSE GERVASI (FRANCE)
ROBERTO Y GABRIELA (FRANCE)
ELIO ASTOR (ITALIE)
ZORROTJ TETI (ITALIE)



EXPOSITION / VENTE :
Marianne MERLE ARTISTE PEINTRE TANGO
Les Ecrins de RosaCréa Unique dans le Monde !

Vente des produits sur site web du festival et sur place

Détente / Relaxation : ISABELLE ALBALA
Diplômée en Massages bien être et réflexologie plantaire vous propose ses services
Degree in Massages and reflexology wellness offers its services

Défilé de mode d'Art Vestimentaire Tango par LARA QUARTO

INFORMATIONS ET RÉSERVATIONS : sil.association@gmail.com

SUR SITE WB : www.tangofestival-sil.com
RECHERCHE DE PARTENAIRES STAGES ET MILONGAS /
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SPONSORS/PARTENAIRES PUBLICITAIRES
Voir site web
Nombreuses associations Tango de la région Côte d'Azur etc...

Soutenir l'Association 1901 à but non lucratif :
SENSUAL INSPIRACION LATINO
Merci
2 mai 2012

Exposition JEAN STARCK

Jean Starck,co- fondateur du mouvement Art-Cloche présente à La Lune en Parachute une rétrospective de 30 ans de cheminement artistique, mystique et contestataire.
De squat en squat, de l'homme des origines à la nouvelle iconographie de l'affiche, Jean Starck nous invite dans son univers peuplé d'Utopie, d'inspirations puisées dans l'art des peuples primitifs, de clins d'œil à l'histoire de l'art, de matériaux de récup glanés dans les friches industrielles, d'éléments naturels, d'animaux sacrés ...

Dîner-Squat à l'issue du vernissage avec Jean Starck!
Venez partager un repas sur La Lune où chacun apportera à manger et à boire!

 

    • vendredi 11 mai 2012
    • 19:00
  •   Dérives Urbaines 1979-2012
    du 11 mai au 23 juin 2012

 

46, rue Saint-Michel, 88000 Épinal, France


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